Absolument CHIENNE

A genou dans cette douche qui m’était encore inconnue, les yeux toujours bandés… Je venais de vivre le plus redoutable orgasme de ma vie de jeune femme…

Je m’étais vidée de mon jus de femme en jouissant comme une folle… Et j’étais complètement inanimée…

A la merci de mon homme et nouveau Maître auprès duquel j’étais absolument prête à tout… non seulement par amour pour lui… Mais et surtout pour mon plaisir…

Pour preuve…

Je lui léchai les mains pleines de cyprine…

A : T’aime ça salope… T’aime ça de goûter ton jus de pute…

E : Oh oui Maître… Ca été trop bon…

A : Tu en veux encore ?

E : Oh Ouiiiii… Maître… Mais là j’ai besoin de récupérer un peu…

A : C’est moi qui décide… En attendant comme tu m’en as foutu partout je dois te sanctionner !

Et tout à coup je sentis un jet chaud m’asperger le bas du corps… C’est l’odeur qui m’a fait comprendre qu’Alban était en train de me pisser dessus…

Sans comprendre… Je me redressai et offris mon corps à cette nouvelle expérience…

J’étais devenue une guenille… J’étais absolument souillée dans mon ensemble de lingerie…

A : Toi aussi tu peux y aller…

Et telle-que… Je me suis aussi pisser dessus…

Ensuite, j’ai senti le jet de la douche chaude tomber sur moi…

Elle tombait en grosse gouttes depuis le plafond comme si c’était de la pluie… C’était si agréable après tant de turpitudes…

Alban me releva… Et il m’ôta les menottes… Et il me déshabilla tranquillement… Il me retira ensuite mon collier… Mais il me laissa le bandeau…

Comme une poupée je me laissai faire… Sa poupée de plaisir…

Il me savonna partout… Assurément partout !…

Puis les yeux encore bandés, je le nettoyai à mon tour…

A : Délasse toi encore un peu… Je me sèche et je vais nous servir une coupe de champagne… Reviens pimpante… La nuit n’est pas encore finie… Et… Je t’aime

E : Moi aussi je t’aime… Maître

Quand j’entendis la porte de la salle de bain se refermer… J’enlevai le bandeau…

Bien qu’étant restée dans le noir depuis un long moment… La lumière douce qui tamisait la pièce était aveuglante…

C’est ainsi que je constatai que la douche qui m’aspergeai était « grand volume » avec hydrojets sur les murs et 2 douchettes… Pour des douches à 2 !

Il y avait aussi une grande baignoire balnéo déjà remplie d’eau qui était éclairée de l’intérieur par des lumières qui changeaient de couleur toutes les 10 secondes…

A regret je coupai l’eau pour me pouponner… Malgré la nuit bien entamée…

Il est vrai que je n’aspirai qu’à une seule chose… Me coucher et dormir !!

Mais je décidais de jouer le jeu à fond… Et après m’être séchée les cheveux, maquillée… Je remis le collier de cuir rose avec la laisse…

Et c’est à quatre pattes que je jugeai bon de faire mon entrée…

C’est ainsi dans une démarche lente et lascive que je vins le rejoindre sur le flanc du lit…

Lui y était assis, une serviette autour de la taille, et sirotait paisiblement son verre de champagne…

Un radio réveil indiquait déjà 3h30 !!

Le sourire aux lèvres :

A : Redresse toi ma belle…

Aussitôt je m’exécutai…

A : Tu es magnifique dans ton rôle de petite chienne !

Il attrapa la laisse et me tira jusqu’à lui…

A : Assieds-toi et désaltère-toi…

E : Merci Maître…

Il me tendit mon verre que je bus d’une traite… C’est vrai qu’il faisait soif !

Il me resservit…

A : Tu as aimé ?

Je n’osai lui répondre que oui… Que oui… J’avais adoré !!

A : Ton silence en dit long !... Mais j’aimerai que tu me répondes… Rappelle-toi la punition de tout à l’heure !!

E : Oh oui Maitre… J’ai aimé…

A : C’est tout ? Simplement aimé ?

E : Non… C’est vrai… Je suis étonnée d’être comblée par ce jeu de rôle… Maître…

A : On continue alors ?

E : Oui Maître !

Il plongea la main dans le seau à glace… Et en ressorti quelques glaçons…

Il m’allongea sur le dos et me caressa avec… Le froid me brula la peau… Les tétons… Mon sexe… J’étais à nouveau trempée… Surtout entre les cuisses !

Il en prit d’autres pour les introduire dans ma chatte…

A : J’ai envie de baiser une chatte glacée… Mais avant tu vas me sucer…

Et il m’introduit 2 glaçons dans la bouche…

Je lui taillai gentiment une pipe pendant que lui dégustait son champagne…

L’eau froide me sortait du vagin pour couler sur les cuisses et entre les fesses…

Quand il eut jugé que sa gâterie avait suffisamment duré…

A : A quatre pattes petite salope ! Je vais te prendre maintenant…

Je me relevais et je me mis en position de le recevoir…

Il enfonça d’abord son majeur pour vérifier que les glaçons avaient bien fondu…

A : C’est bien ma belle… Ta chatte est pleine de flotte…

Il me donna son doigt à lécher puis positionna sa queue à l’entrée de ma chatte…

A : Demande moi salope !

E : SVP Maître baisez-moi…

Je reçu une petite claque sur la fesse…

E : Maitre… Baisez votre salope de chienne…

Il m’agrippa les hanches et me pénétra d’un coup jusqu’à la garde…

Dans ce geste, le trop plein d’eau me fit l’éclabousser…

A : T’es bonne ma petite chienne… Je vais défoncer ta petite chatte fraîche…

E : OOUIIII BAISEZ MOI A FOND…

Et il se déchaîna dans ma chatte sans discontinuer pendant 30 bonnes minutes…

Il m’asséna d’insultes viriles et dégradantes à mon égard… Et moi je l’encourageai…

J’ai jouis je ne sais combien de fois d’être traitée de la sorte…

Mon dernier orgasme fut fulgurant… Lorsqu’il m’introduisit son pouce dans le rectum !!

Epuisé, il me repoussa sur le coté… Se saisit de ma laisse pour me tirer à lui…

A : Allez finis moi salope… J’ai assez bossé comme çà !

Et il tira sur la laisse de manière à ce que ma bouche se place sur sa queue… Moi toujours à quatre pattes…

Mais j’étais vidée… si fatiguée… qu’au bout d’encore longues minutes je n’arrivai pas à le faire jouir…

A : Mais t’es bonne à rien…

Il me jeta sur le dos… Se plaça à califourchon sur ma tête… Et commença à se branler !

A : Lèche-moi les couilles pendant que je fais ton travail… Et n’oublie pas mon cul !!

Il m’étouffa presque… Mais après quelques minutes de ce traitement… Il se libéra encore en grande quantité sur mon visage… Et dans ma bouche entre-ouverte…

Comme il ramollit vite… Il me badigeonna son foutre avec sa queue qu’il fourra dans ma bouche pour la faire briller …

A : Il va falloir que tu apprennes à mieux sucer que çà ma chère… Je suis déçu !... Demain je te punis…

E : Oui maître… Pardon Maître !

A : En attendant… Aux plumes… Demain la journée va être épuisante !

Il me retira le collier… Et nous nous couchâmes… à 4h30 du matin…

Moi, la peau du visage tirée par le sperme séché… La bouche endolorie… La chatte en choux fleur… Et les fesses chaudes des petites claques administrées pendant la partie de baise !!

C’est une grosse envie de pipi qui me réveilla vers 8h30 du matin…

C’est avec une petite gueule de bois que je m’extirpai sans faire de bruit du lit pour aller à la salle de bain…

A : Tu vas où comme çà chérie ?

E : Oh pardon… Je t’ai réveillé… Je vais aux toilettes…

A : Tu as oublié à qui tu parles ?!

E : Pardon maître… C’est que j’ai une grosse envie de pipi…

A : Et tu crois sans doute qu’une bonne chienne a le droit à la cuvette des WC ?!!

Je n’en revenais pas de ce que j’entendais…

Il voulait m’avilir jusqu’au bout !!... Mais au lieu de me vexer… Il se trouva naturel que je lui réponde :

E : Eh bien non maître… Mais où ?

A : Là sur le balcon !

E : Mais il doit faire froid… Et si quelqu’un me voit ?... SVP pas çà…

A : Tu souhaites encore me désobéir ?...Tu préfères peut-être descendre dans le parc !... Avec ta laisse comme une vraie chienne !

E : Euh non maître… Je vais sur le balcon… Me permettez-vous d’enfiler un vêtement…

Il réfléchit un instant avant de rétorquer…

A : Mets la nuisette qu’on ta offerte…

E : C’est tout Maître ?

A : Non tu as raison… Mets aussi le string qui va avec !

Hésitante tout de même je m’exécutai…

En ouvrant la porte… Je fus glacée par la fraîcheur de cette fin d’hiver…

A : Laisse la porte ouverte… Je veux te voir…

Le jour se levait à peine… Et il n’y avait pas un chat dehors… Heureusement !

Je m’accroupis tout en lui faisant face et tout en écartant les cuisses largement…

Je fis passer le string sur le coté… Et après quelques secondes de concentration je consentis à me répandre sur le caillebotis en bois du balcon terrasse…

Quand j’eu fini, je secouai vivement les fesses de haut en bas pour éliminer les dernières petites gouttes… Puis je rentrai vite me mettre au chaud…

Alors que je m’apprêtai à retirer la nuisette…

A : Non garde là… Comme je dois te punir de m’avoir mal sucé hier soir je vais te lancer un défi qu’il va falloir que tu relèves !!

Je restai là, plantée devant la baie vitrée… Inquiète de ce qu’Alban avait préparé…

Il se défi de la couette épaisse…

A : Allez viens me sucer que je t’explique !

Voilà que j’étais mise à contribution dès l’aurore…

Langoureusement… Je m’approchai du lit pour venir poser ma tête sur ses cuisses…

A : Ne te fais pas prier et fais moi grossir… Suce mais surtout ne me fais pas jouir… Je veux juste que tu fasses monter la sauce…

E : Oui Maître…

A : J’ai commandé hier soir un petit déjeuner dans la chambre pour 9h00 ce matin… C’est toi et dans cette tenue qui ira ouvrir au garçon d’étage…

Je me relevai aussitôt décontenancée…

E : Oh non Maître… SVP pas çà !... Vous savez que je n’aime pas m’exhiber !!!

Alban me repris par la nuque et m’enfonça sa queue déjà très dure et en entier au fond de la gorge…

A : Tu veux désobéir à mon ordre ?

Je fis non de la tête… Et il relâcha son étreinte pour que je puisse respirer…

A : Continue de sucer et écoute… Si tu recommence tes jérémiades c’est avec un plug dans les fesses que tu te montreras face au garçon d’étage !

E : Oui Maître…

A : Tais toi et écoute j’ai dis !…

E : mmmmm

A : Bien… Quand il frappera à la porte tu iras lui ouvrir pour ensuite jouer la salope… Tu lui débarrasseras la table de tes affaires… Arrange-toi pour faire tomber quelque chose par terre… Tu le ramasseras jambes tendues en montrant bien ton cul de pute…

E : mmmmmmm

Je détestai ce qu’il me demandait de faire… Mais que j’aimais cette queue que je suçai !

A : Je t’ai dit de ne pas me faire jouir petite insolente !!... Si tu me fais jouir avant qu’il n’arrive… C’est la gueule pleine de sperme que tu feras ton petit jeu !

Je fus sauvé par les coups sur la porte… Alban avait des soubresauts qui annonçaient une fin très proche…

Je me relevai donc…

Et allai ouvrir cette porte…

J’avais honte… Me montrer ainsi… Déjà qu’en temps normal, j’avais du mal à le faire pour l’homme que j’aimais !

Mais j’étais déterminée à relever le défi qu’il me lançait…

D’autant plus que je n’osai pas penser le faire avec le plug dans les fesses si j’échouais… Et encore moins envie de recevoir la correction, certes cuisante mais si excitante après coup, mes fesses étant encore trop sensibles !!

J’ai tout fait comme il le voulait… Pire même… Lorsque je fis tomber ma jupe de la veille, je pris bien tout mon temps pour faire jaillir mon fessier que le transparent de la nuisette ne couvrait plus…

En me relevant, mon sein droit était presque ressorti de son nid…

Le jeune homme ressortit… Sans doute à regret !

Alban se leva du lit… La queue légèrement ramollie…

A : Je n’en crois pas mes yeux !... T’es une super salope !!!

Et il m’embrassa d’un baiser torride…

A : Tu as le droit à une récompense…

A poil, il s’assis sur une chaise…

A : Allez viens me finir doucement sous la table pendant que je prends mon café !

A quatre pattes, je me dirigeai vers son entre cuisse… Et je le suçai… Tout doucement…

Mes lents vas et viens furent profond et absorbant…

Il ne mit pas longtemps à venir dans ma bouche… Je déglutis tout… Absolument tout !!!

A : C’est bien… Tu es une très bonne chienne… Assieds-toi et rassasie-toi…

Et nous prîmes ce petit déjeuner en silence…

A la fin de ce copieux petit repas… Très gênée, je m’adressai à Alban

E : Maître… Pardon mais je dois aller à nouveau aux toilettes… Mais pas pour un simple pipi…

A : Oui bien sûr…

Alors que je me levai pour aller aux toilettes…

A : Attends… Tu vas faire quelques choses de particulier quand tu auras fini…

Il se leva à son tour et se dirigea vers son sac à malices… Il en sortit une poire à lavement…

A : Quand tu auras fini ton affaire, tu prendras ta douche… et tu te laveras dans les fesses… Je sais que tu sais comment faire !

Il est vrai que j’avais été opérée déjà 2 fois d’hémorroïdes… Et que ce traitement j’avais dû le faire souvent…

A : Je veux un cul plus que net… Ce soir je t’encule sans capuchon !!

Alors que je me dirigeai vers mon homme…

A : A quatre pattes comme une chienne !

Je m’exécutai et il me mit la tige de la canule entre les dents…

A : Je veux une chienne propre de partout… Prends le temps qu’il faut !

Je vous passe les détails de mes petits soins… Sachez que je n’ai jamais été aussi propre de l’intérieur que je ne l’avais été ce jour là…

Quand je sortis enfin de la salle de bain, toujours telle une chienne… Alban était lui habillé de son jean et d’un son pull noir col roulé…

A : Je descends à l’accueil… Je t’ai préparé tes dessous… Attends-moi comme hier soir… Yeux bandés… Mais cette fois… Mains déjà menottées dans le dos…

J’enfilai donc le soutien gorge pigeonnant, le string et le porte-jarretelles du même rouge vif que le rouge à lèvres avec lequel je m’étais décidée d’apparaître à mon amour de Maître…

S’en suivit les bas que j’attachai sur le string comme me l’avais conseillée la vendeuse la veille…

Alban m’avais ressorti ces chaussures à talons hauts que je n’avais portées qu’une seule fois pour le mariage de ma sœur… Je les avais détesté tellement elles m’avaient faite souffrir ce jour là !…

Je plaçai ensuite le bandeau sur les yeux… Puis je mis les menottes autour de mes poignets dans le dos…

Exercice pas si facile que ça croyez moi…

J’écartai bien les jambes… et gonflai ma poitrine…

J’entendis un « toc toc toc » sur la porte de la chambre… Mon cœur ne fit qu’un tour…

Etait-ce Alban ?... Etait-ce le garçon d’étage qui venait récupérer les couverts et le reste du petit déjeuner…

A nouveau ces coups sur la porte… J’étais piégée…

Je ne voulu pas répondre car je ne voulais pas… ni ne pouvais d’ailleurs…

Un court silence… Puis la porte s’ouvrit…

J’étais terrifiée !!

C’est les bruits de vaisselles qui me firent comprendre que c’était bel et bien le garçon d’étage qui évoluait dans la chambre…

Le salaud… Mon salaud d’Alban m’avait tendu un piège !!!

Maintenant j’étais pétrifiée… Je ne pouvais bouger…

Je lui offrais le spectacle d’une femme qui s’avilit ouvertement…

J’étais furieuse…

Quand il sortit, au son de la porte qui claque…

Je tombai à genou sur le sol… et je fulminai :

E : Petit con… Quel petit con…

Je fus à nouveau surprise…

A : Chut… Je t’aime ma chérie…

E : Salaud… Salaud… Pourquoi tu me fais çà…

A : On arrête ?

Je ne répondis rien… Le bandeau empêchait mes larmes de couler sur mes joues…

A : Alors ? Que décides-tu ?

Je me relevai… Et pour toute réponse j’écartai les cuisses de colère…

Il était hors de question que je perde la face…

Alban me connaissait bien… J’étais aussi fière et têtue qu’une mule !!

A : Je comprends que tu souhaites aller plus loin… Penche-toi en avant… Donne-moi tes fesses que j’y remette ton jouet !

J’obéis et je reçu doucement… Sans aucune douleur le gros plug de la veille…

A : Tu vas le garder au moins jusqu’au début de l’après-midi…

Il me releva par la queue de cheval que j’avais pris soin de tirer au sortir de ma douche… Et me défit les menottes…

J’avais envie de lui mettre une gifle… Mais il me glissa un baiser dans le cou…

A : Je t’aime… Et tu me plais comme jamais une femme ne m’a plue… Tu es formidable…

Et ce disant… Il passa un doigt dans l’échancrure de mon string pour s’insinuer entre mes lèvres intimes…

A : Et ne me dis pas que tu es énervée… Tu es déjà toute trempée…

Etait-ce ma nouvelle condition qui m’excitait à ce point… OUI… Aujourd’hui je peux dire OUI !!!

Et il m’enleva mon bandeau…

Il sortit une courte jupe portefeuille et un cache-cœur en laine…

A : Habille-toi… Nous sortons !

Emilie jolie